Ava Baya
Nouveau clip "La rose et le gun"
LA ROSE ET LE GUN, son nouveau single nous embarque dans l’intimité d’une histoire passionnelle, quand l’amour devient sombre. « J’ai écrit ce titre après un évènement qui bouleversa ma vie. La relation la plus belle et la plus violente que j’ai eu à vivre. » Elle y joue avec la dualité. Passe de la douceur au déchirement, répond à une basse qui martèle. « Cette mélodie urbaine, c’est le cri de quelqu’un qui veut partir. Comment dire à l’autre ce qu’il ne pourra jamais entendre ? » dit-elle. C’est le deuxième d’une tétralogie.
Ava Baya c’est l’expression d’une nouvelle féminité, une féminité douce et puissante, celle de sa génération. C’est une « Amazone du bitume ».
Ava Baya ose tout et ça lui réussit.
Auteure, compositrice, interprète, elle se rôde dans les jam sessions et les pianos bars parisiens dès 2018. Elle y découvre son goût pour l’improvisation, et développe sa puissance vocale à chanter sans sonorisation. « Une vraie école » dit-elle, à propos des Trois Maillets, là où Nina Simone a fait ses débuts. Ava est aussi actrice, elle tourne au cinéma, joue au théâtre, enchaine les séries, tout juste sortie diplômée du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris. Ancienne gymnaste de niveau national, elle défend des rôles physiques autant que des apparitions dans des films d’auteur.
Pour elle, la musique est forcément un brassage. Bercée aux chants a capella, elle s’imprègne de ces voix mises à nu et de ces chœurs qui dévoilent l’âme. Sa difficulté à se parler de ce quila touche, la pousse à « s’exprimer avec des notes », qu’elle écrit dans son tout premier single BUGGER. Elle chante comme elle enfourche sa moto, avec passion, émotion, d’une voix chaude, brute . Petite, elle écoutait Amy Winehouse et Erykah Badu. Son chant rappelle la soul et le jazz qu’elle a tant cultivé. Mais Ava est aussi de son époque, elle emprunte le flow du hip hop et le côté sans filtre du rap. « J’aime autant Piaf que PNL ». De part sa formation théâtrale, elle a le goût du verbe et de la poésie française. Elle aime l’authenticité de Billie Eillish et l’étrangeté de Camille. Avec sincérité et une pointe de second degré, elle a une douceur qui groove et débarque sur la scène de la chanson française urbaine.
Ses clips sont des courts métrages. On y retrouve l’univers cinématographique auquel elle appartient, la fiction, le cadrage, la photo, le jeu, c’est son truc, elle aime raconter des histoires. « Vous interprétez le texte magnifiquement, on voit que vous comprenez profondément ce que vous racontez » lui dit Julien Clerc quand elle participe à l’émission The Voice en 2019.
PANDEMIA, son premier clip rappelle l’univers de Mad Max. Elle y est à la fois douce et badass.
mazette
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